De l'art d'écrire quand on à (trop) la flemme !.

Laisse !. Chuis crevée j't'dis !.




Tu noteras la grande prolixité dont je fais preuve, hein, si tu me lis !.

Ouais j'avoue que, déjà, je suis une grosse paresseuse !. Tellement que j'aurai même pas pu écrire les livres : ça aurait été fatiguant !.

Et puis le froid, le temps, les mioches, le taff, la faim (t'as envie de pleurer pour moi là quand même, hein ?!) font que je ne suis peinarde que le soir (= la nuit profonde) quand toute la smala dort, l'homme y compris !.

Et puis j'ai pas pléthores de trucs à raconter, si ce n'est que pour moi 2009 c'est l'année de la prise de tête, vu que toute personne croisée en ce moment (jolie- famille, maîtresse d'école, duboss, etc) ce sont tous ligués pour me faire chier que c'est juste pas possib' c'te affaire lô !. Donc je me fatigue moi-même en tergiversations, racontages détaillés et vénêrements divers non-stop à propos de ces (connards) de gens (qui me font chier leur mère, la pute !).

Là ça va mieux !.

A moins... que je sois la Beckham (comprendre parano, mal coiffée et flippée) que je m'en rends même pas compte ?!.

ET BEN NAN, mêmeuh pas : qu'a dit l'homme et mes ami(e)s : je suis un amour !. (et valait mieux sinon je leur pétais trop leurs gueules, non mais ! ). Et l'homme et friends : c'est parole d'évangile, ouais !.

Donc je peux de ce pas aller me coucher sereinement, rentrer mes griffes et ronronner (= ronfler comme un phoque !).

Yeah maintenant tu fais la relation entre l'image, la paresse et les ronflements qui illustre mes propos , c'est bien, c'est beau...

Tu t'étais pas imaginé que je voulais dire que j'étais grosse, hein cômemeuh (enfin pas tant) ?!